Corps vivants : humour, kitsch et queer assumé
Humour, kitsch et queer assumé dans le premier solo-portrait d’Arthur Perole. Le chorégraphe détonne avec ces Corps vivants et signe une œuvre d’une sincérité désarmante. La lente construction d’un être C’est une première pour Arthur Perole. Après avoir signé quatre pièces de groupe (Stimmlos, 2014 ; Scarlett, 2015 ; Rock’n Chair, 2017 et Ballroom, 2019) qui questionnaient le collectif et les relations d’interdépendance, voilà le chorégraphe seul sur scène, programmé dans le temps…