Confession Publique : la nudité comme dernier fracas
Il y a, dans Confession Publique, quelque chose d’un chant primal qui, sous ses dehors de confidence, résonne comme un coup de tonnerre. Dès le premier fracas de batterie — Angélique Willkie, assise sur son trône de tambours, baguettes brandies comme un étendard de guerre — on pressent que l’aveu sera moins une reddition qu’une offensive. L’artiste se livre, certes, mais à la manière d’un corps assiégé qui prend d’assaut…