Brume assassine et psychose collective : bienvenue dans The Mist
Dans la série binge-watching, on venait à peine de boucler la première saison de L’Eternaute ( la suite, la suite ! ) qu’on embrayait sur The Mist. Histoire de rester dans une atmosphère météo-apocalyptique, mais avec une petite crainte quand même vu qu’adapter Stephen King au ciné, c’est en règle générale, sinon mission impossible, du moins risque absolu d’accoucher d’une soupe visuelle fadasse. Et là, divine surprise. Frank Darabont s’en tire…









