De Nuremberg à Nuremberg : « A Chacun ce qu’il mérite »
« Jedem das seine » … « A Chacun ce qu’il mérite » : la devise inscrite sur le portail du camp de Buchenwald résonne comme un avertissement. Un avertissement pour tous. Stigmatisant les juifs, les tziganes, les russes réduits à l’extermination, cette sentence issue du langage judiciaire antique, va finalement sceller le sort des dignitaires nazis au terme du procès qui statuera sur leurs actes. Ironie de l’Histoire, l’épopée débutée en 1933 à Nuremberg…