Théâtre / Grand Guignol : « Et mourir de plaisir » ?
Partager sur : Facebook Pinterest Twitter Linkedin Reddit Buffer Messenger Diaspora Xing Copy Print Email On y allait discrètement, avec son amant, sa maîtresse, en copains, pour s’encanailler, se chauffer les sens, se frotter à l’interdit du meurtre, de la perversité, de l’érotisme morbide, du macabre burlesque : un siècle avant les films d’horreur, le gore et les zombi pride, le Grand guignol déversait déjà des litres d’hémoglobine sur la scène…