Speedlines Mangas : Amnesia

La mémoire, un outil de notre cerveau que nous sommes toujours bien contents de maîtriser un minimum. Un instrument sans lequel nous serions pris au dépourvu, seuls et inertes, comme mort en somme. De nombreux films, animes et jeux vidéo ont traités la maladie de l’amnésie en provoquant en nous diverses émotions touchantes. Mais jamais, je ne l’avait vu traitée ainsi.

Amnesia, c’est avant tout une « Visual Novel », un type de jeu très apprécié au Japon, où le joueur interagit sur l’histoire grâce à divers choix. Mais ce jeu particulier, développé par Idea Factory, se trouve être une Visul Novel de type Otome, et accrochez-vous bien mesdemoiselles car il vous est destiné. Dans ce jeu, vous incarnez une jeune fille (dont vous choisissez le nom) ayant perdu la mémoire et ferez votre premier choix qui influencera tout au court de l’histoire, les relations que vous aurez avec les différents membres de la gente masculine qui vous entoureront.

Mais revenons à la version que je souhaite vous présenter : l’anime ! L’héroïne, dont on ne connaît pas le nom, se réveille le 1er août sans aucun souvenir. Un étrange garçon se présente à elle sous le nom d’Orion, il lui révèle qu’il est un esprit et que c’est de sa faute si elle a perdu la mémoire. En effet, lorsqu’il arriva dans le monde des humains, il tomba sur son esprit et il se retrouva ainsi coincé en elle, prenant la place de ses souvenirs normalement incrustés dans l’âme. Il lui apprendra alors, qu’elle doit à tout prix retrouver la mémoire en étant proche des personnes qu’elle côtoyait, afin de ne pas oublier comment savoir manger, voir respirer.

L’anime semble être incrusté d’énormément de scènes émouvantes, qu’elles soient emplies de sensations négatives ou positives. Nous ne devrions donc pas nous endormir devant cette anime, qui ne sera point pourvue de combats épique et autres scènes Shonen-like. Amateurs de Shonens uniquement, ouvrez votre esprit, car l’année 2013 semble bien démarrer, avec une anime intéressante et émouvante comme celle-ci.

Chris Raspail

Posted by Chris Raspail