Un Faune au Printemps : Marie Chouinard et les cornes d’abondance ?
Pas si évident, on l’a vu avec Le Jardin des délices, de créer sur un chef d’œuvre qui vous paralyserait plutôt. Debussy l’osa en son temps, à partir de l’églogue de Mallarmé rendu public en 1876, et Nijinski, idem, en brodant trente-six ans plus tard sur le poème symphonique éponyme (ou presque) composé en 1894 par Debussy, Prélude à l’après-midi d’un faune, avant d’enchaîner l’année suivante sur Le Sacre du…