The Hateful Eight : « aussi outrancier que teigneux »
Autant le reconnaître d’entrée, on ne misait pas grand chose sur le nouveau film de Quentin Tarantino. La faute sans doute à quelques déceptions, des promesses cinématographiques pas toujours tenues depuis Kill Bill. Et puis, un léger agacement, devant la pose du réalisateur et scénariste s’agitant pour être sûr de bien incarner le « dernier grand cinéaste classique américain de notre temps ». Dernières accroches pour être vraiment dans le coup post-moderne :…