A l’avant garde : Bryan Anthony Moore
« Celui qui maîtrise la narration maîtrise l’Histoire » ; c’est particulièrement vrai dans un pays qui n’en a pas. Dixit les USA vieux de seulement 250 ans, melting pot qui ne mélange rien, pays où la ségrégation est monnaie courante, où la violence est récurrente, où l’argent autorise tout, y compris la perte de mémoire. C’est sans compter sur des artistes de la trempe d’un Bryan Anthony Moore. Le Monsieur se singularise…









