À l’avant-garde : Urs Fischer – Untitled 2011
Fragilisée, la structure se dissout, le corps s’effondre au gré des accidents de la matière, la cire s’écroule doucement, consumée par de douces flammes. Nous découvrons ces décompositions pendant la Nuit Blanche 2012 dans l’enceinte de l’École nationale supérieure des beaux-arts. Urs Fischer, impitoyable et poétique, décline sous nos yeux les mots « Je me suis liquéfié ». Vibrations malsaines Ou comment exprimer en quelques mots la marche inéluctable à…









