Confession Publique : la nudité comme dernier fracas
Partager sur : Facebook Pinterest Twitter Linkedin Reddit Buffer Messenger Diaspora Xing Copy Print Email Il y a, dans Confession Publique, quelque chose d’un chant primal qui, sous ses dehors de confidence, résonne comme un coup de tonnerre. Dès le premier fracas de batterie — Angélique Willkie, assise sur son trône de tambours, baguettes brandies comme un étendard de guerre — on pressent que l’aveu sera moins une reddition qu’une…