Les Bienveillantes : « Vis ma vie de SS »
Il y a des livres dont on ne se remet jamais. A peine entamée la première page, c’est le gouffre. Et on n’en ressort pas. Traumatisme littéraire, mutation à marche forcée de la perception du monde et de l’humanité : Les Bienveillantes font partie de ce style de bouquins, qui sentent le souffre et qu’à une époque pas si éloignée, on aurait mis à l’index. Un enfer à plusieurs visages Tout…