Carmen, avant l’opéra : ce que Bizet doit (et ne doit pas) à Mérimée
Carmen 150 ans : tandis que mes petites camarades s’escriment à décortiquer l’opéra de Bizet, je mets le pif dans la nouvelle de Mérimée. Parce qu’il faut bien l’admettre : sans la prose de Prosper, Georges n’aurait jamais accoucher de son opéra et nous serions contraints.es de vivre sans les arpèges de l’Andalousie la plus célèbre de l’art lytique mondial. Objectif donc du glissage de nez dans les pages de Carmen version…