A l’avant garde : Le Diamantaire
Caen, début des années 2000 : un jeune gars découvre les œuvres de Obey et bascule dans le street art frénétiquement, au point de se voir interdit de graffiti. Qu’à cela ne tienne, il reste le pochoir. Et la sculpture. Amoureux de la lumière, des reflets et de l’éclat, le jeune homme va jeter son dévolu sur le miroir comme matériau de prédilection. Il va progressivement en sertir les murs des…