Le Malade imaginaire selon Claude Stratz : « une comédie crépusculaire »
Bénie soit la captation qui a gardé souvenir de cette mise en scène pour le moins inédite. Car la lecture du chef-d’œuvre de Molière par feu Claude Stratz dépoussière largement Le Malade imaginaire, atténuant le côté farce et ballet pour souligner le drame intérieur d’un homme confronté avec ses angoisses de mort. Une comédie crépusculaire menée bille en tête par la troupe de la Comédie-Française, qui, comme à son habitude,…