Kumulus – Les pendus : nos lâchetés au gibet de nos hontes
Bon c’est pas le tout de partir faire les festoches de province la fleur au fusil et le sourire aux lèvres. Il convient ensuite d’en faire état. Et je ne me voyais pas attaquer la chronique de mon périple en terre éléphantine lavalloise sans commencer par la grosse claque finale, à savoir Les pendus. Ah là, faut avouer qu’en programmant cette véritable mine antipersonnelle, Les 3 éléphants ont largement justifié…