Le Malade imaginaire selon Claude Stratz : « une comédie crépusculaire »
Partager sur : Facebook Pinterest Twitter Linkedin Reddit Buffer Messenger Diaspora Xing Copy Print Email Bénie soit la captation qui a gardé souvenir de cette mise en scène pour le moins inédite. Car la lecture du chef-d’œuvre de Molière par feu Claude Stratz dépoussière largement Le Malade imaginaire, atténuant le côté farce et ballet pour souligner le drame intérieur d’un homme confronté avec ses angoisses de mort. Une comédie crépusculaire…