Le Temps du ghetto : dur labeur que le juste souvenir
Ce visage blafard, au regard perçant et accusateur, n’est ni celui d’un extraterrestre, ni d’une créature étrange ou d’un monstre échappé des X-Files. C’est celui d’une des enfants juifs de Varsovie, un de ces enfants qui par centaines moururent de faim, abandonnés de tous, dans l’horreur du ghetto verrouillé par les nazis. Ce regard à lui seul symbolise toute l’atrocité du génocide tel qu’on l’appliqua dans les rues de la…









