A l’avant garde : Mathieu Laca
Quand l’être implose ? Quand l’intériorité se dissout ? Quand l’imaginaire se dilate ? Quelle question peut exprimer au plus juste la ligne directrice traversant les portraits de Mathieu Laca ? Y en a-t-il une seulement ? De ces portraits captivants et déstabilisants à la fois, d’animaux, de quidams ou d’artistes célèbres, qui superposent l’intensité du regard, l’épaisseur d’une chair tourmentée, on retient cette anamorphose désordonnée de particules qui s’échappent du visage, le déforment, le…









