Rue des Martyrs : Patrick Eudeline au cimetière des souvenirs
Nous avions laissé Patrick Eudeline avec sa jolie garce Vénéneuse datée de 2013, sidérés par le style si affûté, la désespérance de cet auteur en quête de résilience. Erreur que de vouloir s’éloigner : on ne lâche pas une écriture aussi délicieusement cruelle avec elle-même. Du coup, je replonge avec Rue des Martyrs antérieur de quatre ans, certes, mais tout aussi déstabilisant pour le pire et le meilleur. Quand les…









