« Les Clowns » de Fellini : rires en clair-obscur, mémoire d’un monde en disparition
Partager sur : Facebook Pinterest Twitter Linkedin Reddit Buffer Messenger Diaspora Xing Copy Print Email Le cirque, chez Federico Fellini, n’est pas une simple attraction. C’est une matrice esthétique, un théâtre du monde, un rêve bariolé aux lisières du grotesque et du merveilleux. Dès La Strada (1954), le réalisateur italien plaçait ses personnages dans un univers de saltimbanques et de marginaux, où les clowns tristes dissimulaient les fêlures de l’âme…