Ils sont quatre, musiciens expérimentés riches de dix ans d’expérience : Dombrance , Guillaume Rossel, Antoine Reininger et david Shaw tout chaud venu de, … de ???? De Manchester bien sûr ! Et d’un seul coup la patte particulièrement rock et ouvragée de DBFC prend sens.
Un savant équilibre entre des guitares rock du plus bel effet et une rythmique electro apprivoisée sur les dancefloors : DBFC a beau se présenter comme un club plus que comme un groupe, sa musique respire l »esprit des combos britanniques des 80’s, une puissance, une originalité qui transparaît à chaque note de leur EP Leave my room sorti fin 2014.
Et l’art de pondre du hit bien accrocheur qui vous secoue le bassin et s’imprime dans votre mémoire auditive pour activer votre journée. Techno, soul, funk, disco, new wave, … on ne sait plus torp sur quel pied danser, … mais on continue néanmoins à se trémousser allègrement et sans demander son reste.
Primal Scream ? Happy Mondays ? Difficile de déterminer des sources précises, tant l’osmose est aboutie, le style personnel. Bref ça se laisse écouter, en boucle de préférence … et l’on languit d’en entendre plus, lors du passage obligé et redouté du LP. Vivement donc une galette plus complète qui confirmera la lancée adoptée par le collectif.

Et plus si affinités