DES : pas une goutte de sang, mais c’est bien pire …
Évoquer le parcours d’un tueur en sérier à l’écran sans le magnifier, ni en faire une star. La question avait été posée avec le prenant Extremely wicked, shockingly evil and vile qui dessinait avec un peu trop d’enthousiasme le profil d’un Ted Bundy séduisant et charismatique ; c’est du moins le débat qui avait alors couru, relançant une problématique commune à tous les biopics de serial killers. Avec DES, la question…